[719: Goethe non seulement conserva toutes ces épithètes, mais il en ajouta de nouvelles: Aengstlich folgen ihr zwei liebe Tõchter (vers 19); Und sie hielten vor der Lieben Thüre / Und den armen Kindern gab sie Gaben (vers 77-78). Il va sans dire que nous ne songeons pas à le lui reprocher: une traduction en vers était autrement difficile qu'une traduction en prose. Nous constatons seulement le fait.]

[720: Pourtant, deux ou trois fois il y recourut, mais tomba malencontreusement sur les passages les moins bien traduits. (Archiv, t. XXIX, p. 75.)]

[721: La suite que Nodier donne de cette lettre est complètement fantaisiste.]

[722: Viaggio in Dalmazia, t. I, p. 104.]

[723: Idem, p. 105.]

[724: Voyage en Dalmatie, t. I, p. 149.]

[725: Goethes Werke, éd. de Weimar, première partie, t. II, p. 52.]

[726: Smarra ou les démons de la nuit, Paris, 1821, p. 199.]

[727: La Guzla, p. 255.]

[728: L. Clément de Ris, Portraits à la plume, Paris, 1853, pp. 109-110.]

[729: Maxime du Camp, Souvenirs littéraires, Paris, 1883, t. II, p. 328.—Cf. aussi l'Introduction des Lettres à une Inconnue, par H. Taine, p. XXIX, et A. Filon, Mérimée, p. 47.]

[730: Impromptu, le Morlaque à Venise, le Cheval de Thomas II.]

[731: «Lingay est auteur de tous les discours de Casimir Périer.» (J.-M. Quérard, Les Supercheries littéraires, 2e éd., t. III, p. 79.)]

[732: M. Tourneux, Prosper Mérimée, comédienne espagnole, p. 8.]

[733: Entre amis (publication de la Société des gens de lettres), Paris, E. Dentu, 1882, pp. 459-479.]

[734: Le 26 décembre 1829. (Correspondance de Stendhal, Paris, 1908, t. II, p. 509.)]

[735: Publiée sous le pseudonyme de «Léon de Saint-Marcel». (Quérard, La France littéraire, t. XI, pp. 255-256.) Les autres ouvrages de J. Lingay sont: Notice sur Casimir Delavigne. (Extrait du «Musée des familles», numéros de mars 1844), Les Batignolles, 1844, 8 pages in-4º à deux colonnes.—La France en Afrique, Paris, 1846, in-8º Anon.—Défense de Marc Caussidière pour les affaires du 15 mai et les journées de juin. Publiée dans le Moniteur universel et tous les journaux de Paris. Lingay écrivit à un journal, dans les premiers jours d'octobre 1848, pour démentir les bruits qui lui attribuaient la rédaction du discours du prince Louis-Napoléon Bonaparte. Il ajoutait qu'il avait écrit la défense de Caussidière, mais il s'étonnait qu'en 1848, sous la République, on blâmât un avocat d'avoir plaidé pour un ami et pour un proscrit.—La Liste civile dévoilée. Lettre d'un électeur de Joigny à M. de Cormenin, député de l'Yonne. Paris, 1837, pp. 128 in-32. C'est une réponse aux Lettres sur la liste civile et sur l'apanage, par M. de Cormentin.]

[736: 25.000 adresses de Paris, Paris, Panckoucke, 1827-1842.]

[737: L'Âge du Romantisme, 5e livraison, p. 9.]

[738: L'Âge du Romantisme, 5e livraison, p. 9.]

[739: Cf. ci-dessus, pp. 233-234.]

[740: La Guzla, ou choix de poésies illyriques, recueillies dans la Dalmatie, la Bosnie, la Croatie et l'Herzegowine. À Paris, chez F.-G. Levrault, rue de la Harpe, nº 81; et rue des Juifs, nº 32, à Strasbourg [et chez Mongie, à Paris, boulevard des Italiens, nº 10; cf. le Nouveau Journal de Paris du 27 août 1827], 1827, pp. xii (faux-titre, titre, table des matières et préface) et pp. 257, in-12. Prix 4 francs.

M. Gustave Lanson a tort de dater la Guzla: 1826. (Voir son Histoire de la littérature française, 9e édition, Paris, 1906, p. 995.)]

[741: Moniteur universel du 13 août 1827.]

[742: Nouveau Journal de Paris et des départemens, feuille administrative, commerciale, industrielle et littéraire du 27 août 1827.]

[743: La Vie de Napoléon Buonaparte, par sir Walter Scott, venait de paraître et la presse française s'en occupait beaucoup au moment où la Guzla fut publiée.]

[744: Le Globe des 23 et 28 août, 1, 6 et 11 septembre 1827.]

[745: Voir ci-dessus, chapitre I, § 5.]

[746: Mme Belloc ne disait pas d'où elle avait traduit ces pièces, mais il est facile d'établir qu'elle les avait tirées de la traduction anglaise de John Bowring et non pas du recueil original serbe, car elle avait fidèlement reproduit non seulement l'orthographe anglaise des noms propres et topographiques, mais aussi les notes qui accompagnaient la Servian Popular Poetry.]

[747: Revue encyclopédique, août 1827, pp. 463-464.—Même notice dans le Journal général de la littérature de France, août 1827, p. 243.]

[748: Gazette de France du 19 septembre 1827.]

[749: Le Globe, tome V, p. 410.]

[750: Voir ci-dessus, chapitre V, § 4.]

[751: La Nouvelle Revue du 16 juin 1908, p. 449.]

[752: Cf. ci-dessus, chapitre V, § 2.]

[753: Journal des Savans, 1827, p. 569.]

[754: Idem, février 1829, pp. 125-126.—Deux mois plus tard, Charles Magnin écrivait dans le Globe, rendant compte de la Chronique de Charles IX: «Qu'importe que l'auteur se donne pour un grand dénicheur d'anecdotes et lecteur de mémoires, et que son livre, daté, en gros caractères, 1572, peigne des mœurs de trente ans postérieures, et bien moins les modes du temps de Charles IX que celles du commencement de la régence de Marie de Médicis! c'est là un assez petit malheur, et qui ne porte presque aucune atteinte au mérite du romancier. Une œuvre d'imagination n'est pas tenue de faire une illusion complète; et la Guzla, par exemple, ne serait pas moins digne d'éloges quand le Journal des Savans, après dix-huit mois d'examen, n'eût pas annoncé cet ouvrage comme une traduction assez soignée de plusieurs petits poèmes illyriens.» (Le Globe du 25 avril 1829.)]

[755: Journal des Débats du 21 décembre 1827.—Le Constitutionnel du 22.—Le Courrier français du 24.]

[756: L'Univers illustré du 12 mars 1881, p. 162.]

[757: Biffé.]

[758: Lettre inédite.—Collection de M. Félix Chambon.]

[759: Revue de Paris, octobre-décembre 1829.]

[760: Lettres à une Inconnue, t. I, p. 26.]

[761: Bulletin du Bibliophile, 1908, pp. 227-228.—Sur Mérimée, Paris, H. Leclerc, 1908.]

[762: Cf. ci-dessus, chapitre I, § 3.]

[763: Archiv für slavische Philologie, t. XXIX, pp. 59-64.]

[764: Chronique du règne de Charles IX, Paris, 1842, p. 476.]

[765: Srpski kgnijevni Glasnik du 1er décembre 1901, p. 366.]

[766: Milosch Kobilitch se trouve à la suite d'un manuscrit de l'Osmanide de Gundulić, portant le numéro 8701 (anc. 8700 et 1 illyrien), pages 622-677: «Pisma od Miloscia Cobilichja i Vuka Brancovichja» (Canto di Milos Cobilich e di Vuko Brancovich). En serbo-croate et en italien [trad. par Fortis].]

[767: Th. Vetter, Bibliographisches aus Paris (Archiv für slavische Philologie, tome VI, pp. 121-126).]

[768: Cf. Ćurčin, op. cit., pp. 28-29.]

[769: Osman, poème illyrien, Paris, 1838.—Fragments sur l'histoire politique et littéraire de l'ancienne République de Raguse et sur la langue slave, Paris, 1839.—Sur la ville et l'ancienne République de Raguse, Paris, 1839.]

[770: À ce sujet lire l'article cité de M. Matić, pp. 63-64.]

[771: Voir la Bibliographie placée à la fin de cette étude.]

[772: Nous devons ce détail à une obligeante communication de la grande maison d'édition de la rue Auber.]

[773: M. Matić fut la première victime de leur fantaisie. Dans un des appendices de son étude, il a reproduit la Triste ballade en entier, se servant de ce texte haché de 1885.]

[774: Art. inséré dans le Rêve et la Vie de Gérard de Nerval, Paris, 1855, p. 267.]

[775: Journal des Débats du 4 avril 1849 (Hector Berlioz).—Le Moniteur du 12 (Hippolyte Prévost).—F. Clément et P. Larousse, Dictionnaire des Opéras, Paris, 1897, p. 755.]

[776: Maurice Tourneux, Gérard de Nerval (l'Âge du romantisme, 3e livraison), Paris, 1887, p. 10.]

[777: La Romaika n’est point «le chant des montagnes monténégrines». C’est la danse nationale des Grecs modernes.]

[778: Gérard de Nerval, La Bohème galante, Paris, 1855, pp. 63-64.]

[779: F. Coppée, Pour la Couronne, acte I, scène 2.]

[780: Théâtre de la Renaissance, 1897.]

[781: E. de Laboulaye, L’Allemagne et les pays slaves, p. 130.—L’auteur de la Guzla lui-même ne dédaigna pas de faire plus ample connaissance avec cette poésie qu'il avait voulu imiter sans la connaître. Nous en avons plusieurs témoignages. Dans son article De l'Origine des Albanais (Revue contemporaine du 31 déc. 1854), après avoir constaté que les échantillons de la littérature albanaise qu'il avait sous les yeux «n'étaient pas faits pour l'encourager dans l'étude de cette littérature», Mérimée se demande «comment un peuple placé entre les Serbes et les Grecs est resté si parfaitement étranger au mouvement poétique de ses voisins». Dans l'introduction qu'il écrivit pour les Contes et poèmes de la Grèce moderne de Marino Vreto (1855), il déclare qu'on ne trouve dans ces chants «ni l'ampleur des poèmes serbes, ni l'invention romanesque des ballades anglaises ou des romances espagnoles». Enfin, dans le feuilleton qu'il consacra aux Ballades roumaines de son ami Alecsandri (1856), il rapproche fort judicieusement une ballade de ce recueil d'une version serbe qu'il en connaissait. (Voir plus haut, chapitre III, § 2.)]

[782: N.S. Pétrovitch, Essai de bibliographie française sur les Serbes et les Croates (1544-1900), Belgrade, 1900.]

[783: Lire à ce sujet notre notice: Claude Fauriel et la poésie populaire serbe (en serbe), dans la revue Srpski kgnijevni Glasnik des 1 et 16 février 1910.]

[784: Elle collabora au fameux Livre des Cent et Un.—Sur Mme Voïart lire: Femmes auteurs contemporains, par Alfred de Montferrand, Paris, 1836, t. I, pp. 167-178.]

[785: Revue des Deux Mondes du 1 novembre 1834, pp. 347-348.]

[786: Œuvres complètes de Lamartine, t. VIII, Paris, 1861, pp. 33-108.]

[787: À propos du Voyage en Orient, il faut faire remarquer que dans les pages relatives aux pays serbes, les noms propres sont généralement mal orthographiés. Un nouvel éditeur ne pourrait-il remédier à cet état de choses?]

[788: Première édition: Chants populaires serbes, Paris, 1859.]

[789: La Bataille de Kossovo, rhapsodie serbe, tirée des chants populaires et traduite en français par Adolphe d’Avril, agent et consul général de France en Roumanie, Paris, 1868.]

[790: De nos jours encore, pareille aventure est arrivée. Un ingénieur français qui, ayant exploré la Bosnie, avait entendu parler des célèbres ballades serbes, voulut en joindre quelques-unes à son livre. (Albert Bordeaux, La Bosnie populaire, Paris, Plon-Nourrit, 1904.) On lui en fournit un certain nombre qui semblent avoir été faites par quelque poète-fonctionnaire, excepté pourtant la Mort du guzlar qui est du grand poète national Zmaï-Yovan Yovanovitch.]

[791: M. Colonna, Contes de la Bosnie. Orné de trente-quatre illustrations originales de Léopold Braun. Paris, 1898, pp. 1-3.]

[792: Voir le catalogue méthodique de la Bibliothèque Nationale, fiches: Bosnie, bosniaque, Balkans, Herzégovine, etc.]

[793: Dire qu'on parle le «bosniaque» en Bosnie, c'est comme si l'on disait qu'on parle le «messin» à Metz.]

[794: Revue d'Europe, 1899, 1900.]

[795: Cf. plus haut, chapitre IV, § 5.]

[796: Ibid.]

[797: Presque toutes les pièces des Contes de la Bosnie ont été réimprimées dans la Revue d'Europe, économique, financière et littéraire, Paris, 1890 et 1900.]

[798: M. Ćurčin, Das serbische Volkslied, pp. 163-186.—W. von Biedermann, Goethe und Leipzig, t. II, pp. 294-326.]

[799: Introduction des Lettres à une Inconnue, t. I, p. XXIII.]

[800: Encyclopædia Britannica, t. XVI, p. 37.]

[801: W. Gerhard, Gedichte, t. III, p. XII.—Maurice Tourneux, Prosper Mérimée, comédienne espagnole et chanteur illyrien, p. 9.]

[802: M. Tourneux, op. cit., loc. cit.]

[803: Djordjé S. Djordjévitch, Sima Miloutinovitch-Saraïliya, Belgrade, 1893 (en serbe).]

[804: W. Gerhard, Gedichte, t. III, préface.]

[805: M. Tourneux, op. cit., p. 10.]

[806: La préface est du 29 novembre 1827.]

[807: M. Ćurčin, op. cit., p. 173×.]

[808: W. Gerhard's Gedichte. Dritter und vierter Band: Wila, serbische Volkslieder und Heldenmãhrchen. Leipzig, Verlag von Joh. Ambr. Barth, 1828, pp. XXIV-416 et X-317 in-8º.]

[809: Wila, Erste Abtheilung, p. XII.—Pourtant, il osa la faire. Sa traduction, faite sur la version de Mérimée, resta en manuscrit jusqu'à 1858, quand elle fut publiée dans l'Archiv für das Studium neuerer Sprachen und Literaturen, XIII Jahrgang, 23 Band, p. 211 et suiv.]

[810: «Vertraut mit dem Periodenbau serbischer Rhythmik, ward ihm [au traducteur] die Arbeit leicht, und so gab er sie [la Guzla] als Anhang zu dem 2ten Bande gegenwärtiger Sammlung», etc.—Wila, t. I, p. XII.]

[811: Wila, t. II, pp. 114-116.—Cf. plus haut, pp. 276-278.]

[812: Wila, t. I, p. 195.]

[813: Cf. plus haut, chapitre V, § 2.]

[814: Wila, t. I, pp. 176-177.]

[815: Wila, t. I, pp. 270, 307, 320.]

[816: Quelques-uns de ces noms accusent évidemment la collaboration de Miloutinovitch dans la confection de ce surcroît de «couleur» qui se manifeste dans la traduction de Gerhard. Ainsi, la véritable forme serbe du nom George n'est pas Gjuro, mais Djordjé. Gjuro n'est qu'un provincialisme. Il s'explique dans la traduction allemande des poèmes de Mérimée par la manie bien connue de Miloutinovitch qui, bien que Bosniaque, avait adopté le langage, les mœurs et jusqu'au costume du peuple monténégrin, plus pittoresques et plus «spartiates» que ceux des autres pays serbes.]

[817: Wila, t. II, p. 91.]

[818: L'Amante de Dannisich (Der Auserwählte).]

[819: Wilhelm Gerhard's Gesänge der Serben, Zweite Auflage, herausgegeben, eingeleitet und mit Anmerkungen versehen von Karl Braun, Leipzig, 1877.—La Guzla entière manque dans cette édition.]

[820: Wila, t. II, p. 138.—Mérimée dit simplement: «La mer est bleue, le ciel est serein, la lune est levée, et le vent n'enfle plus nos voiles d'en haut.» (La Guzla, p. 125.)]

[821: Moré signifie en serbe la mer; lak veut dire léger, facile; mais Morlaque a une étymologie tout autre, que nous avons donnée, du reste. (Cf. plus haut, p. 30.)]

[822: Wila, t. II, p. 210.]

[823: Eckermann, Conversations de Goethe, t. II, pp. 295-296.]

[824: «Auf, Matrosen, die Anker gelichtet», «Bin der kleine Tambour Veit», «Die Mädchen in Deutschland sind blühend und schön», etc.]

[825: Ueber Kunst und Altertum, t. VI, livr. 1, p. 192; livr. 2, pp. 321-323.]

[826: Allgemeine Literatur-Zeitung (Ergänzung-Blätter), mars 1829, nº 36, p. 287.]

[827: L. von Ranke, Zur eigenen Lebensgeschichte, Leipzig, 1890, p. 621. [À propos d'une visite du ministre serbe Jean Ristitch.]]

[828: Leopold Ranke, Die serbische Revolution. Aus serbischen Papieren und Mittheilungen, Hambourg, 1829, pp. 38-39. Nouvelles éditions en 1844 et 1879.]

[829: Cf. plus haut, chapitre V, § 4.]

[830: L. Ranke, op. cit., pp. 38-39.]

[831: Otto von Pirch, Reise in Serbien im Spätherbst 1829, Berlin, 1830, 2 vol. in-8º.]

[832: Tome II, p. 159.]

[833: Siegfried Kapper, Slavische Melodien, Leipzig, Wilhelm Einhorn, 1844, pp. XII, 156.]

[834: Taschenbibliotliek klassischer Romane des Auslands: Prosper Mérimée's Werke, übersetzt von Heinrich Elsner, Stuttgart, 1845, t. VII, pp. 250-251.]

[835: Die Vampyrenbraut.—C'est la Belle Sophie de Mérimée.]

[836: Bulletin des sciences historiques, antiquités, philologie, tome X, pp. 146-148, Paris, 1828.]

[837: A. Mézières, Goethe, Paris, 1874, t. II, p. 295.]

[838: En vérité, plusieurs des articles du Globe, traduits par Goethe, furent publiés dans sa revue Art et Antiquité. Il vantait également à son «fidèle Eckermann» la publication française: «Je mets le Globe parmi les journaux les plus intéressants, et je ne pourrais pas m'en passer. (Eckermann, Conversations de Goethe, jeudi 1er juin 1826.)]

[839: J.B. Segall, An Estimate of Béranger by Goethe, dans Modern Language Notes, 1899, col. 412-425.]

[840: Conversations de Goethe, 21 janvier 1827.]

[841: Gustave Planche, Portraits littéraires, t. I, pp. 207-208.]

[842: Correspondance, le 2 mars 1827.]

[843: Conversations de Goethe, t. I, p. 359.]

[844: Idem, le 7 mars 1830.—Nous reproduisons ce portrait en tête de notre livre.]

[845: Ueber Kunst und Altertum, tome VI, livr. 6, 1828, pp. 326-329.—Eckermann, op. cit., pp. 320-321.]

[846: Maxime du Camp, Souvenirs littéraires, Paris, 1883, t. II, p. 324.]

[847: Gustave Planche, Portraits littéraires, t. I, pp. 207-208.]

[848: Taschenbibliothek klassischer Romane des Auslands: Prosper Mérimée's Werke, übersetzt von Heinrich Elsner. Stuttgart, 1845, t. VII, pp. 250-251.]

[849: Revue de France, 31 juillet 1875, p. 42.]

[850: 11 décembre 1828. (A. Filon, Mérimée et ses amis, Paris, 1909, p. 40.)]

[851: Goethe-Jahrbuch, t. XV, p. 291.—Notes sur Prosper Mérimée, Paris, 1903, p. 5.]

[852: «Unterschobene dalmatische Gedichte». Goethes Tagebücher, éd. de Weimar, t. XI, p. 90.]

[853: Correspondance de Goethe, le 21 avril 1827.]

[854: Cf. plus haut, p. 447.]

[855: Goethes Tagebücher, t. XI, p. 123.]

[856: Vesselofsky, Joukovsky, Saint-Pétersbourg, 1904.]

[857: Goethes Tagebücher, t. XI, p. 193.]

[858: Goethes Nachgelassene Werke (1833), t. VI, p. 137 et suiv.—Eckermann, op. cit., p. 391.]

[859: Eckermann, Conversations de Goethe, t. II, pp. 194-195.]

[860: Nous avons publié sur le même sujet une notice, en serbe, dans le Srpski kgnijevni Glasnik du 16 décembre 1906. Un autre article intitulé John Bowring et la poésie populaire serbe, a paru dans la même revue (1er juillet 1908). On y trouvera quelques détails, d'importance secondaire, que nous n'avons pu reproduire ici. Depuis l'époque où nous écrivions ces articles, nous avons quelque peu changé d'opinion sur sir John Bowring.]

[861: Cf. les tables de la Correspondance de Victor Jacquemont (Paris, 1867, 2 vol.) et l'Introduction à la Correspondance de Stendhal (Paris, 1855, 2 vol.). «J'ai la mauvaise habitude de brûler les lettres pour ne pas compromettre les belles dames», écrivait Mérimée à Sainte-Beuve. (M. Tourneux, Prosper Mérimée, ses portraits, ses dessins, sa bibliothèque, Paris, 1879, p. 108.)]

[862: Encyclopædia Britannica, t. XVI, p. 37.—On doit à M. Saintsbury également une traduction anglaise de la Chronique de Charles IX (Londres, 1890), précédée d'une pénétrante étude sur Mérimée.]

[863: À vrai dire, l'Angleterre n'a eu, presque jusqu'à nos jours, aucun érudit slavicisant. Comparée à l'Allemagne, à la France et même aux pays Scandinaves, elle est restée fort en arrière. Il n'y a que dix-neuf ans qu'a été nommé le premier lecturer in Slavonic dans une Université (celle d'Oxford), mais l'enseignement est limité aux choses les plus élémentaires. M. Moses Gaster, le seul slavicisant compétent anglais, ne professe nulle part; il est rabbin de la commune de Whitechapel (faubourg de Londres).]

[864: The Times, 25 novembre 1872.—Autobiography of Sir John Bowring, Londres, 1877.—Dictionary of National Biography, tome VI, p. 76 et suiv.]

[865: Lettre à Kopitar (31 oct. 1827); Poetry of the Magyars, translated by John Bowring, Londres, 1830.]

[866: Servian Popular Poetry, translated by John Bowring, Londres, 1827, Introduction.]

[867: Russian Anthology, Specimens of the Russian Poets, Londres, 1820.]

[868: Journal des Savans, août 1821, pp. 477-486.]

[869: Srpski kgnijevni Glasnik du 1er juillet 1908, p. 36.]

[870: Le 20 déc. 1827, il demande au poète Čelakovsky deux exemplaires de The Lady of the Lake que celui-ci venait de publier en tchèque: l'un pour lui, l'autre pour sir Walter Scott qu'il espère voir dans quelques jours à Abbotsford. Le 19 avril 1828, il écrit, au même, qu'il a vu sir Walter, qu'il a eu avec lui une longue conversation et qu'on parla surtout de cette traduction. En 1830, Bowring composa une anthologie tchèque, la dédia à Čelakovsky, mais ne la publia qu'en 1832. Il demandait 100 souscripteurs en Bohème avant de la livrer à l'impression. On lui en trouva 40; il imprima l'ouvrage et envoya 100 exemplaires, espérant qu'on placerait le reste. (Korrespondence Johna Bowringa do Čech, podava Robert Beer, Comptes rendus de l'Académie royale tchèque, Prague, 1904.)]

[871: Miklosich, Ueber Goethe's Klaggesang, pp. 70-72.]

[872: Dans les Wiener Jahrbücher der Literatur, t. XXX, pp. 159-274.]

[873: Lettre de Mlle von Jakob à Kopitar, du 2 février 1828, publiée par Miklosich, op. cit., pp. 70-72.]

[874: Idem.—Elle le qualifie dans cette lettre d'un «dandy littéraire».]

[875: Cité par M. Jules Claretie, Le Temps du 14 mai 1909.]

[876: Manque dans la Bibliographie lamennaisienne de J.-M. Quérard.]

[877: V. Jagić, Neue Briefe von Dobrowsky, Kopitar, etc. Berlin, 1897 pp. 76-77.—Il s'agissait d'un article de Bowring, relatif à la littérature et la poésie de la Bohême, paru dans la Foreign Quarterly Review et traduit en français dans la Revue britannique, avril 1828.]

[878: Moniteur universel, 1835, pp. 1895, 1911, 2003.]

[879: Autobiographical Recollections of sir John Bowring, Londres, 1877.]

[880: Lettres à Panizzi, le 11 novembre 1860.]

[881: Robert Beer, Korrespondence Johna Bowringa do Čech, Prague, 1904, p. 17.]

[882: Dictionary of National Biography, t. VI, p. 79.]

[883: Miklosich, op. cit., p. 70.]

[884: Cf. Chambers, Cyclopædia of English Literature, Édimbourg, 1893, t. II, p. 482.]

[885: Monthly Review, novembre 1827, pp. 375-384.]

[886: Foreign Quarterly Review, juin 1828, pp. 662-671.]

[887: «In the fine Illyrian ballad of Lord Mercury we find another species of supernatural beings, which know not well how to class.» The Fairy Mythology, by Th. Keightley, Londres, 1828, pp. 323-324.]

[888: Gustave Planche, Portraits littéraires, t. I, pp. 207-208. M. Tamisier mentionne la même chose, dans sa brochure Prosper Mérimée, Marseille, 1875, p. 11. (Probablement d'après G. Planche).]

[889: Mrs. Julian Marshall, Mary Wollstonecraft Shelley, Londres, 1889.—Mrs. W. M. Rossetti, Mrs. Shelley(Eminent Women Series.)]

[890: Chronique du règne de Charles IX, suivie de la Double méprise et de la Guzla, Paris, 1842, p. 349.]

[891: Augustin Filon, Mérimée (Collection des Grands écrivains français), Paris, 1898, p. 29.]

[892: Don Dionisio Hidalgo ne mentionne pas moins de trente-sept éditions de ces traductions. (Diccionario general de Bibliografia española, t. I, Madrid, 1862, pp. 173-180.)]

[893: A. Filon, op. cit., loc. cit.]

[894: Pouchkine appelle naïvement les Serbes: les Slaves occidentaux. Or, de son temps déjà, ce nom était réservé aux Tchèques et aux Polonais. Il fallait dire: les Slaves méridionaux.]

[895: V. Sipovsky, A. S. Pouchkine, jizn i tvoratchestvo, Saint-Pétersbourg, 1907, pp. 447-474.]

[896: Moniteur universel des 20 et 27 janvier 1868.—Portraits historiques et littéraires, Paris, 1874.]

[897: Tableau slave du cinquième siècle, Paris, 1824.]

[898: V. Sipovsky, op. cit., loc. cit.]

[899: Quelques critiques russes, afin de justifier la méprise de Pouchkine, sans soupçonner combien la Guzla diffère de la véritable poésie serbe, nous assurent gravement que si Mérimée avait réussi à composer un si bon pastiche de cette poésie, c'est parce qu'il avait passé sa jeunesse en Dalmatie, à Raguse, où son père, «le célèbre peintre et architecte Louis-Léonor Mérimée», accompagnait le maréchal Marmont! «Attentif et intelligent, l'enfant y avait entendu des chants, remarqué des croyances serbes dont il garda le souvenir.» (Voir la Grande encyclopédie russe, articles: Mérimée, Pouchkine; et la Novoé Vrémia du 25 oct. 1894: Prosper Mérimée et ses rapports avec la littérature russe, par M. P. Matvéeff.)]

[900: Platon Koulakovsky, Slavianskié motivui v tvortchestvié Pouchkina, dans Rouski filologuitcheski Viestnik, 1899, pp. 1-22.]

[901: Ibid.]

[902: Rouski Arkhiv, 1866, p. 1266 et suiv. (Cité par M. Koulakovsky.)]

[903: Yakovlieff, Otzivui o Pouchkinie na ioughie Rossii, Odessa, 1887, p. 138. (Cité par M. Koulakovsky.)]

[904: K dotchéri Kara-Ghéorghia.]

[905: Cette pièce a été traduite en anglais par l'écrivain polonais K. Lach-Szyrma. Cf. plus haut, chapitre II, § 5.]

[906: Ce fragment était resté inédit jusqu'à 1855, quand il fut publié par Annenkoff. En 1903, M. Chliapkine en a donné une nouvelle édition qui prouve que la collation faite par Annenkoff était loin d'être scrupuleuse. (I. A. Chliapkine,Iz néizdanuikh boumague A. S. Pouchkina, Saint-Pétersbourg, 1903, pp. 32-35.)]

[907: Koulakovsky, art. cité, p. 5.—M. Šrepel, dans le discours qu'il a prononcé le 7 juin 1899 devant l'Académie sud-slave, Pouchkine et la littérature croate, essaie de démontrer que le poète russe avait connu la Serbianka de Simo Miloutinovitch, dont nous avons déjà parlé. (Ljetopis Jugoslavenske Akademije, t. XIII, p. 129.) Les rapprochements qu'a faits M. Šrepel sont très intéressants, mais nullement concluants.]

[908: P. V. Annenkoff, Matérialui dlia biografii A. S. Pouchkina, Saint-Pétersbourg, 1855, pp. 373-380.]

[909: En voici la nomenclature: Serbskaïa piesna (le Chant serbe—le
Cheval de Thomas II), Vidienie korolia (la Vision du Roi), Yanko
Marnavitch
(la Flamme de Perrussich), Bitva ou Zénitzui Vélikoï (le
Combat de Zenitza-Velika), Fiodor i Éléna (la Belle Hélène), Vlakh v
Vénétzii
(le Morlaque à Venise), Gaïdouk Christich (les Braves
Heyduques), Pokhoronaïa piesna Yakinfa Maglanovitcha (Chant de Mort),
Marko (sic) Yakoubovitch (Constantin Yacoubovich), Bonaparte i
Tchernogortzi
(les Monténégrins), Vourdalak (Jeannot).]

[910: Ce nom est absolument inconnu des Serbo-Croates.]

[911: Les Braves Heyduques.]

[912: La Guzla, p. 35.]

[913: Étude sur Pouchkine. (Portraits historiques et littéraires, Paris, 1874.)]

[914: P. V. Annenkoff, op. cit., loc. cit.]

[915: La Guzla, p. 45.]

[916: La Vision du Roi, Yanko Marnavitch, le Combat de Zenitza-Velika, Fiodor i Éléna, le Valaque à Venise, Christich l'Heyduque, Marko Yakoubovitch.]

[917: Le Chant serbe, Chant de Mort, Bonaparte et les Monténégrins, Jeannot.]

[918: Bibliotéka dlia Tchténia, 1835, t. VIII (1re partie, p. 158) et t. IX (1re partie, pp. 5-26).]

[919: Stikhotvorénia A. S. Pouchkina, t. IV, Saint-Pétersbourg, 1835, pp. 115-177.]

[920: L'original porte: «extraordinairement remarquables».]

[921: Pouchkine imprime: Hassan-Aga.]

[922: Cf. Maurice Tourneux, La Correspondance générale de Mérimée. Notes pour une édition future. (Revue d'histoire littéraire de la France, 1899, pp. 55-71.)]

[923: Nous croyons qu'ils firent connaissance par l'intermédiaire de M. de Mareste, homme d'esprit, fort répandu dans la société moscovite.]

[924: Félix Chambon, Notes sur Mérimée, Paris, 1902.]

[925: Sotchinénia A. S. Pouchkina, izd. P. V. Annenkova, Saint-Pétersbourg, 1855, tome III.—Édition P. O. Morozoff, Saint-Pétersbourg, 1887, t. III, pp. 480-508, etc.]

[926: Un traducteur allemand des poèmes de Pouchkine, Dr. Robert Lippert, a retraduit, en vers, sous le titre de Serbisches Lied, le Cheval de Thomas II de Mérimée. Voir: Alexander Puschkin's Dichtungen, Leipzig, 1840, t. I, pp. 311-312.]

[927: Louis Leger, Russes et Slaves, études politiques et littéraires, troisième série, Paris, 1899, p. 237.—Nous ne sommes pas parvenus à trouver nulle part ce recueil et nous ne saurions dire quelles ballades M. Chodzko a traduites.]

[928: Idem, p. 239.—Piotr Chmielowski, Adam Mickiewicz, Varsovie, 1886, t. I, p. 435.]

[929: Adam Mickiewicz, Œuvres poétiques, trad. par Chr. Ostrowski, Paris, 1859, t. II.—Louis Leger, Russes et Slaves, deuxième série, Paris, 1896.]

[930: Nous ne voulons cependant pas laisser entendre que le poète polonais ait utilisé la version russe en composant la sienne. Du reste, elle n'existait pas encore à cette époque (1828).]

[931: Louis Leger, op. cit., p. 231.]

[932: Louis Leger, op. cit., pp. 232-234.]

[933: Ibid.]

[934: Voir l'article de M. Louis Leger, dans la Nouvelle Revue du 15 juin 1908, pp. 454-455.]

[935: Piotr Chmielowski, op. cit., loc. cit.]

[936: Russes et Slaves, t. III, p. 239.—Nouvelle Revue du 16 juin 1908, p. 454.]

[937: Ladislas Mickiewicz, Adam Mickiewicz, sa vie et son œuvre, Paris, 1888, p. 181.—Cf. aussi, Victor Cousin, Huit mois au Ministère de l'Instruction publique, dans la Revue des Deux Mondes du 1er février 1841, p. 394.]

[938: Hippolyte Lucas, Préface à la deuxième édition des Œuvres poétiques de Mickiewicz, Paris, 1842.]

[939: Idem, ibid.]

[940: Galerie des contemporains illustres, par un Homme de rien, tome III, Paris, 1842.]

[941: F. Trawinski, article: Mickiewicz, dans la Grande Encyclopédie.]

[942: On peut se faire une idée de cette influence par le propos suivant prêté à Mickiewicz: «Si Towianski, aurait dit l'illustre poète, m'ordonnait de me jeter du haut des tours Notre-Dame, j'obéirais sans hésiter.» (Loménie, op. cit.)]

[943: Louis Leger, Russes et Slaves, t. III, p. 212.]

[944: Idem, t. II, p. 230.]

[945: Il fut définitivement révoqué après le Coup d'État du 2 décembre, en compagnie de Quinet et de Michelet, mais il obtint, grâce à l'influence du roi Jérôme, une place de bibliothécaire à l'Arsenal, qu'il conserva jusqu'à sa mort (1855).]

[946: Les émigrants polonais avaient voulu exploiter l'institution de cette chaire dans leurs polémiques anti-russes et proclamer Mickiewicz «l'ambassadeur intellectuel de la Pologne auprès du peuple français».]

[947: Adam Mickiewicz, Les Slaves, cours professé au Collège de France de 1840 à 1844, publié d'après les notes sténographiées. Paris, 1845-1849, 5 vol. in-8º.]

[948: Korespondencya Adama Mickiewicza, Paris, 1880, t. I, p. 263.—L'éditeur de cette correspondance donne une date erronée: 1842. Le 2 décembre 1842 n'était pas un mercredi mais un vendredi; c'est donc: 1840 qu'il nous faut rétablir.]

[949: Idem, p. 229.—Un autre Polonais, qui signait «Charles de Noire-Isle», a retraduit en français ces poésies serbes dans son ouvrage intitulé Poètes illustres de la Pologne (Cycle ukrainien, Antoine Malçzewski, Bohdan Zaleski, Sévérin Goszczyñski), Nice, 1878, pp. 261-275. On a déjà très justement remarqué que les traductions de «Charles de Noire-Isle» sont de véritables «parodies inconscientes» de l'original.]

[950: Studien zur vergl. Literaturgeschichte, t. VI (1906), pp. 508-511.]

[951: Adam Mickiewicz, Les Slaves, t. I, pp. 332-334.]

[952: Mickiewicz s'occupa à nouveau de la poésie populaire serbe. En 1855, il fut envoyé par le gouvernement français en Orient, avec la mission de jeter les premières bases d'une organisation de légions polonaises qu'on devait employer à la guerre contre la Russie. Il devait aussi faire un rapport politique et littéraire sur les pays slaves de la péninsule balkanique, et il reçut à ce sujet les instructions suivantes du Ministre de l'Instruction publique (H. Fortoul): «De Constantinople, 1: Mickiewicz se rendra, en traversant la Bulgarie, à Widdin, centre commercial de ce pays. Un court séjour dans la Bulgarie suffira pour prendre connaissance de tout ce qui peut avoir trait à la présente mission. La cité qui offrira le plus d'intérêt sous tous les rapports est Belgrade; mais on ne doit point se borner à profiter des ressources scientifiques qui se trouvent dans cette capitale de la Serbie. Le pays serbe est si important au point de vue historique et littéraire qu'il serait utile d'en visiter toutes les villes les plus considérables. De la frontière de la Bosnie, on pourra prendre des informations sur la Bosnie et sur l'Herzégovine, dans le cas où, par suite des circonstances, il serait impossible de parcourir ces pays et de pousser l'excursion jusqu'au Monténégro.» (Ladislas Mickiewicz, Adam Mickiewicz, sa vie et son œuvre, p. 364.) Toutefois, le poète ne vit jamais la Serbie car, parti de Marseille pour Constantinople, il mourut dans cette dernière ville, le 26 novembre 1855, d'une attaque de choléra.]

[953: F. Chambon, Prosper Mérimée dans Pro Memoria P. M., Paris, 1907, p. 16.]

[954: Augustin Filon, Mérimée et ses amis, Paris, 1909, p. 157.]

[955: Auguste Barbier, Souvenirs personnels et silhouettes contemporaines, Paris, 1883, pp. 293-97.]

[956: Augustin Filon, Mérimée (Collection des Grands écrivains français), Paris, 1898, p, 29.]

[957: «Je corrige en ce moment des épreuves d'une réimpression d'une de mes sottises d'autrefois [Clara Gazul]. Il se fait dans mon esprit un commentaire perpétuel à ce sujet. Cela me rajeunit et me fait souffrir parce que je lis entre les lignes.» (29 octobre 1856.)]

[958: Sainte-Beuve, Lettre-Préface à l'Étude sur l'influence anglo-germanique en France au XIXe siècle, par William Reymond, Berlin, 1864.]

[959: Augustin Filon, op. cit., loc. cit.]

[960: Nous avons publié sur ce sujet une notice: A Lost Translation by Scott dans la revue anglaise The Athenæum du 5 septembre 1908, p. 270. Nous la complétons ici.]

[961: Goethe-Jahrbuch, t. III, 1882, p. 50.]

[962: Ueber Goethes Klaggesang, pp. 48-49.]

[963: Histoire de la Jeune Serbie (Omladina), Belgrade, 1900.]

[964: Histoire de la littérature serbe (en serbe), Belgrade, 1909, p. 144.]

[965: Life of sir Walter Scott, Edinburgh Edition, t. II, p. 37.—Cette «Apology» était une apology pour le retard des Tales of Wonder de M. G. Lewis, recueil de ballades anglaises et étrangères, que le public anglais attendait avec impatience depuis plus de trois ans. Scott, l'un des collaborateurs, inséra dans cet ouvrage—deux ans avant que les Tales of Wonder parurent—quelques-unes des ballades destinées au livre de Lewis. Il voulut parodier le titre et intitula sa brochure Apology for Tales of Terror. Le recueil de Lewis ne parut qu'en 1801. Quelques années plus tard, Lewis lui-même publia une parodie des Tales, intitulée Tales of Terror. Les deux ouvrages ont été publiés à nouveau par le professeur Morley dans sa «Universal Library» (1887).]

[966: La collection de ce journal ne se trouve pas à Londres. Les chercheurs écossais feront sans doute d'intéressantes trouvailles en la feuilletant dans une de leurs bibliothèques.]

[967: The Kelso Mail était hebdomadaire.]

[968: Kelso est situé à soixante kilomètres d'Édimbourg.]

[969: La Lénore.]

[970: Lockhart se trompe: on trouve dans l'«Apology» The Erl-King et The Water-King, mais on ne trouve pas The Fire-King.]

[971: Der wilde Jäger de Bürger.]

[972: J.G. Lockhart, op. cit., loc. cit.]

[973: Catalogue of the Loan Exhibition, Édimbourg, 1871.]

[974: Cent huit vers. Donc, la traduction ne paraît pas être seulement un «fragment», car le Klaggesang de Goethe est plus court; il n'a que 91 vers.]

[975: Dans le chant II de Childe Harold, il signalait déjà, dès 1809, l'Illyrie au futur auteur de la Guzla:

     From the dark barriers of that rugged clime,
     Ev'n to the centre of Illyria's vales,
     Childe Harold passed o'er many a mount sublime,
     Through lands scarce noticed in historic tales.
]

[976: The Bride of Abydos, canto II, vers 701.—Le commentateur de l'édition critique de Byron, M. E.H. Coleridge, a tort d'expliquer les «chansons bosniaques» par le recueil de Karadjitch. Le deuxième chant de la Fiancée d'Abydos est de novembre 1813, tandis que Karadjitch ne commença ses publications qu'en 1814. Si Byron vraiment connaissait quelque poésie serbo-croate (la Bosnie est un pays où l'on parle cette langue), il ne pouvait la connaître que par Fortis ou par les traductions de Herder et de Goethe. Très probablement, il pensait au Klaggesang de ce dernier, son «prince» auquel il dédiait ses poèmes et à qui il déclarait «faire les honneurs de vassal».]

[977: M. Skerlitch vient de réunir ces articles en une petite brochure: Frantzouski romantitchari i srpska narodna poéziya [les Romantiques français et la poésie populaire serbe], Mostar, chez Pacher et Kissitch.]

[978: Cette liste ne comporte que des ouvrages utilisés au cours de notre étude. On trouvera une bibliographie plus complète dans les livres de MM. Pinvert, Thieme et Vicaire.]

[980: Les vers cités à cette page sont faussement attribués à Théocrite par le critique de la Gazette de France. Ils sont de Virgile. (Les Bucoliques, VII.)]